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| COMPTES RENDUS DES COMITES D'ENTREPRISECOMITE D’ENTREPRISE DU 30-05-2001 Approbation des PV des réunions de décembre 2000, janvier et février 2001 Avis favorable à l’unanimité Présentation du rapport sur la participation des salariés aux résultats de l’entreprise pour l’exercice 2000 La réserve spéciale de participation au titre de l’exercice 2000 s’élève à 13 121 698 F. La formule de calcul légale a été appliquée, en l’absence d’accord dérogatoire. Présentation du rapport relatif à l’intéressement 2000 Le montant de l’enveloppe à répartir s’élève à 9 060 662 F. Ce montant a été calculé à partir des critères définis dans l’accord d’entreprise s’appliquant aux exercices 1998, 1999 et 2000 Information et consultation du Comité d’Entreprise sur le recours à la sous –traitante pour le ramassage du courrier des sites administratifs toulonnais Le Comité d’Entreprise devait se prononcer sur une volonté d’harmoniser le ramassage des courriers pour l’ensemble des sites de Cote d’Azur. Ce ramassage est actuellement confié à une société de transport Le ramassage du courrier des sites toulonnais est assuré actuellement par un agent administratif qualité du département Edition/Economat, depuis le départ à la retraite d’un agent de service. Le débat a porté sur le remplacement d’un emploi par de la sous-traitance. Pour : CGC – SU Abstention : CGT Contre : FO - CFDT Avis du Comité d’Entreprise sur la définition d’emploi de "Responsable Gestion des Factures " Avis favorable à l’unanimité Présentation des comptes 2000 du Comité d’entreprise et vote du quitus au trésorier Présentation des comptes par le trésorier du Comité et le commissaire aux Comptes du Comité d’Entreprise. Pour : CGC – FO Abstentions : SU - CFDT- CGT Modification de l’annexe du règlement intérieur du Comité d’entreprise La modification portait sur la périodicité des comptes rendus d’activités des sections sportives. Celle-ci passe du trimestre au semestre Avis favorable à l’unanimité Situation des effectifs au 31/3/2001 Ce point n’a pas été traité Un document a été remis en fin de séance Point sur l’activité commerciale au 31/3/2001
Information et consultation du Comité d’Entreprise sur la révision du processus Contentieux Diagnostic
Juridique
Contentieux Caisse
Solutions proposées
Juridique
Contentieux Caisse
Structure proposée
Le débat en comité d’Entreprise a porté essentiellement sur les points suivants
L’avis du Comité d’Entreprise est repoussé à la prochaine réunion, prévue le 9 juin. Avis du Comité d’Entreprise sur le rattachement de l’emploi "Chargé de Domaines " à l’emploi de " Responsable Etudes et Budget " Avis favorable à l’unanimité Avis du Comité d’Entreprise sur la définition d’emploi "Chargé de Domaines " et "Responsable Etudes et Budget " Avis favorable à l’unanimité
COMITE D’ENTREPRISE DU 10-05-2001
A – Consultation du CE sur le Plan d’Orientations Stratégiques 2001/2003 Aux nombreuses questions posées Messieurs Jean MERELLE et Fabrice BOUVIER répondent : Ä Sur la Qualité : il est prévu la mise en place d’une structure avant fin juin et de fait une présentation au CE à la mi juin. Nous sommes dans une logique de mission d ‘amélioration de process afin d’améliorer le service rendu à la clientèle (ex. la qualité du service bancarisation). La qualité doit-être la problématique de l’ensemble des managers et pas seulement d’une structure qui doit jouer un rôle d’animation. Ä Support utilisateur à améliorer pour libérer du temps commercial : il est difficile de retrouver les informations aujourd’hui. Il faut amorcer la réorganisation de la production bancaire, il faut développer la polyvalence sur un certain nombre de services. Ä Besoins en spécialistes (ex. CCP et CGP) : la problématique de la gestion privée est en réflexion. Il faut faire entrer le marché des professionnels dans le quotidien en liaison étroite avec les agences multi- marchés. D’autre part compte tenu de notre marché on peut envisager la gestion de patrimoine. Ä S’agissant de la rétribution en cas d’atteinte des objectifs : il s’agit de mesures collectives en matière d’intéressement (les mesures individuelles existant déjà). Les objectifs dont on parle ne sont pas seulement quantitatifs mais ils doivent s’inscrire dans une démarche d’amélioration (ex. règles de gestion des MAE plus claires). Ä GERC : elle est validée par le comité de pilotage, elle sera présentée au CE avant fin juin. Une agence en production sera déployée avant l’été des que nous aurons la certitude de la fiabilité, puis une agence par groupe si possible à partir de septembre. Ä La maîtrise du nombre d’opérations : elle doit s’entendre par l’extension des bonnes pratiques. Il ne faut pas supprimer les flux, mais seulement les maîtriser. Ä DAB / GAB hors site : ils seront envisagés sur les flux commerciaux. L’activité monétique ne nous permet plus aujourd’hui de gagner suffisamment d’argent (les commissions étant financièrement rentables sur les non clients) Ä Le futur Poste de Travail Unique : il sera construit pour l’ensemble des trois communautés (ARPEGE RSI et SIRIS) la CE CAZ a un représentant dans C17 (Arpège). Ä S’agissant des Valeurs : nous sommes un établissement de proximité, y compris dans les décisions des agences. Nous sommes acteurs de la vie économique et sociale locale. Des valeurs cela se fait vivre. Ä Nous devons vendre : mais il faut vendre bien et mieux vis à vis de notre clientèle. Ä S’agissant des contrats de service : nous éviterons les risques de dérive. Ä Enfin en réponse à une des questions de la CGC qui estime que comme 44 % des objectifs du POS sont liés à la problématique informatique, cela ne nous permet pas d’en avoir une totale maîtrise : Monsieur Merelle répond qu’il lui semble que la mise en place de la C17 nous permettra des évolutions favorables aux objectifs du POS 2001/2003. Avis favorable de la CGC et du SU. Défavorable des autres Avis du SNE CGCsur le Plan d’Orientations Stratégiques 2001 – 2003 La mise en œuvre du précédent plan d’orientation stratégique a permis à la CE CAZ de retrouver la place qui était la sienne au sein du groupe. Elle a cependant contribué à une forte détérioration du climat social. Les lignes d’actions prioritaires proposées dans le Plan Stratégique 2001 / 2003 devraient nous permettre de poursuivre notre développement commercial. Pour prendre en compte le climat social actuel, ces actions doivent être effectivement mises en œuvre avec la volonté délibérée d’améliorer les dysfonctionnements et de reconnaître le personnel dans son ensemble. 1 – Accroître et rentabiliser le temps commercial Les actions proposées répondent globalement aux attentes des commerciaux et permettront de contribuer à la revalorisation de leurs métiers. Nous demeurons attentifs sur les moyens mis à disposition quant à l’externalisation des appels téléphoniques et au développement des agences multi-marchés. 2 - Maintenir les frais de gestion au niveau de l’année 2000. Les actions envisagées sont certainement incontournables, la diminution des dépenses informatiques est une ambition difficilement réalisable à court terme. Il convient aussi de veiller à ce que la réduction des coûts administratifs ne dégrade pas le service rendu tant à la clientèle qu’en interne. 3 – Augmenter la tarification de 35 % en 3 ans. Nous notons avec intérêt que la Caisse tient à se positionner dans la fourchette basse des établissements financiers, ce qui correspond à ses valeurs fondamentales. Faisons le savoir à la clientèle, c’est un indéniable atout commercial. Le développement de la vente des forfaits de compte doit s’inscrire dans une politique de communication clientèle pour favoriser l’utilisation des services vendus. 4 – Développer des conditions de travail motivantes. Cette ligne d’action correspond à une attente forte de l’ensemble des collaborateurs. Les actions proposées nous paraissent aller dans le bon sens, il est maintenant impératif de les mettre en œuvre avec équité et d’en respecter les délais. Une attention particulière doit être portée sur la revalorisation des métiers de l’encadrement intermédiaire , en tenant compte de composantes telles que rémunération, écoute, force de proposition, prise de décision, etc…. 5 – Orienter les missions et l’organisation de chaque direction. Il y a aujourd’hui une vraie attente de l’amélioration du service client, a-t-on actuellement tous les moyens techniques et en particulier informatiques pour y parvenir ? 6 – Transformer 200.000 clients en clients sociétaires. Le sociétariat doit devenir une véritable force, il convient d’y associer les moyens (offres et animations). Nos sociétaires doivent devenir nos principaux prescripteurs. 7 – Développer une politique de captation des flux sur l’économie locale. Cette politique doit-être associée à une véritable politique de gestion des risques. 8 – Renforcer le rôle de manager. Les actions proposées sont significatives d’une volonté de mieux reconnaître la fonction de manager. Il s’agit, maintenant, de les faire vivre et de les pérenniser. Dans le cadre de la communication interne de véritables efforts doivent être fournis pour mettre à la disposition des managers des informations régulières et fiables (notamment sur les résultats commerciaux). 9 – Renforcer la maîtrise et la connaissance des systèmes d’information. Les conditions dans lesquelles s’opère le mutualisation ne nous permettent pas aujourd’hui d’appréhender sereinement cette action. 10 – Organiser et mettre en œuvre la complémentarité des canaux de distribution. Les objectifs ambitieux proposés sont de nature à renforcer notre activité commerciale. Ils nous paraissent générateurs de nombreux emplois qui doivent être complémentaires et non capteurs vis à vis du réseau. La CGC donne un avis favorable sur le Plan d’Orientations Stratégiques 2001/2003 sous réserves que les moyens nécessaires soient effectivement mobilisés, les délais respectés, les attentes du personnel prises en compte B – Avis du CE sur le Bilan Social 2000 Après discussion un avis consensuel s'est dégagé et des remarques communes à toutes les organisations (sauf S.U.) ont été émises. Ä Nécessité de prendre en compte le Bilan Social du CTIR midi 2. Ä Insuffisance des effectifs stigmatisés par les mesures destinées à pallier l'absentéisme : - réduction de certaines formations (notamment Sécurité), - heures supplémentaires non déclarées,
Ä Problèmes concernant les CDD :
- Confusion délibérée entre les CDD pour " surcroît de travail " et CDD " adossés "
Ä Besoin d'embauches supplémentaires:
Ä Egalité professionnelle Hommes/Femmes : le nombre de femmes cadres est toujours insuffisant, mais dû à l’histoire Ä Concernant les rémunérations:
Ä Enfin le poste concernant les réunions, à l'initiative de l'employeur, telles que les briefings ou les diverses réunions destinées à l'encadrement, est erroné aussi car il ne tient pas compte de nombreuses réunions tenues. Comité d'Entreprise du samedi 21 avril 2001 Nice, ouverture de séance à 9h30 4 points étaient à l'ordre du jour:
le bilan social fait apparaître une augmentation d'effectif pour l'année 2000 ce qui est encourageant. Le nombre d'E.T.P est de 1663,02, dont 1564 CDI, 868 hommes pour 696 femmes. les CDI sont essentiellement des remplacements ou des adossements pour des congés maladie, des maternités etc. Devant la persistance chronique du nombre de CDD, la Direction argue du fait qu'elle ne peut descendre en dessous de 90 à 100 CDD. Les syndicats proposent alors la création en CDI d'une unité "volante" de ce nombre là, pouvant servir à pallier cet absentéisme structurel. Apparemment la Direction ne souhaite pas embaucher car "elle ne peut pas faire ce qu'elle veut" ( dixit ). Argument récurrent dont elle use et abuse à tout bout de champ. La Direction devrait nous dire exactement ce qu'elle a le droit de faire, ce qui ferait gagner du temps à tout le monde. Plus sérieusement, la CGC espère que cette population de "CDD à durée indéterminée" n'est pas un outil de gestion de la masse salariale. En effet, ce volant de 140 CDD permanents est rémunéré à une exception près à la RGG de la classification "A". La masse salariale de ces employés est donc figée à son niveau le plus bas. La Direction rétorque avec raison que cela permet l'entrée en CDI de plusieurs dizaines de CDD par an. Nous ne pouvons que nous en féliciter même si nous devons rester vigilants notamment sur la rémunération de ces contrats éternellement classés en "A". En 2000, l'entreprise a connu 78 entrées et 39 départs, l'absentéisme reste stable et nous sommes légèrement en dessus de la moyenne nationale. la rémunération moyenne des salariés ( hors mandataires sociaux) est de 215 720 F et la masse salariale a augmenté de 1999 à 2000. Une suspension de séance est demandée à 11h45. Du fait de l'heure tardive, les OS demandent que le point 4 de l'ordre du jour ( P.O.S ) soit repoussé ultérieurement. La séance reprend à 12h10 en présence de M. Merelle. le secrétaire du Comité d'entreprise lui fait part du souhait des O.S. de voir repousser le point 4 à une date ultérieure. M. Merelle souhaitait un avis des OS pour le COS du jeudi 26. Malheureusement, les délais de réflexion que nous laisse la Direction sur des éléments aussi importants que le P.O.S. ( certaines OS n'ont reçu le document qu'en début de semaine) ne permet pas une étude sérieuse et un débat étoffé. L'avis ne pourrait être donné qu'à la va-vite ce qui n'est pas notre souhait. Après concertation, le P.O.S. sera étudié lors d'une séance exceptionnelle le jeudi 10 mai 2001, à 14h. Rapport sur l'égalité professionnelle Hommes/Femmes 2000; On constate une évolution notable de la population féminine dans notre entreprise qui approche 45%. De plus, nos collègues sont plus jeunes et plus diplômées que leurs aînés. Toutefois les promotions et les salaires moyens ne semblent pas en égalité parfaite. ( cf le bilan social ). Bilan annuel sur le temps partiel année 2000; L'accord d'entreprise signé en 1997 nous a permis d'évoluer favorablement sur ce point. Toutefois il convient de rester vigilant car nous n'avons pas la certitude que la carrière des employé(e)s à temps partiel n'en pâtit pas. séance levée à 13 h.
OBSERVATIONS DU COMITE D’ENTREPRISE SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE DE L’ENTREPRISE
L’assemblée générale annuelle des sociétaires correspond à un moment essentiel de la vie d’une entreprise à caractère coopératif. Ce moment est d’autant plus important qu’il s’agit aujourd’hui pour la Caisse d’Epargne Côte d’Azur de la première assemblée générale chargée d’approuver les comptes annuels et d’affecter les résultats de l’exercice 2000, notamment à l’intérêt servi aux parts sociales et au financement de projets d’économies locales et sociales (P.E.L.S.). Cette opération s’inscrit nécessairement dans un contexte économique macro et micro dont il convient de tenir compte car cette démarche ne sera parée de sa souveraineté que si elle s’appuie sur une approche bien plus large que celle préconisée par la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne (CNCE), tutrice de fait des directoires des caisses régionales. Cette capacité d’analyse, ce devoir de vigilance, sont d’autant plus nécessaires que d’une manière dilatoire les représentants des salariés élus au Conseil d’Orientation et de Surveillance, pourtant compétents et fondamentalement indépendants, sont exclus arbitrairement du comité ad hoc portant par excellence la notion de surveillance : le Comité d’Audit. Le Comité d’Entreprise souhaite souligner son impossibilité à faire une analyse exhaustive des documents fournis par le Directoire, n’ayant malheureusement eu que huit jours pour les analyser. Cet état de fait ne saurait se reproduire dans l’avenir d’autant que le Comité souhaite se faire assister d’un expert et mener toutes les investigations lui permettant de faire les observations les plus pertinentes et les plus justes possibles. Néanmoins quelques observations peuvent être faite malgré tout. Il est souhaitable plus particulièrement d’identifier les paramètres de profitabilité de l’entreprise en s’attachant à l’examen de lignes dites comptables, lesquelles sous un habillage habile peuvent s’apparenter dans leur économie générale à un " écran de fumée " car la répartition du résultat économique, notamment en dotations diverses et variées et réserves multiples, réduit considérablement la portée du Résultat Net comptable à partir duquel découlent l’intérêt servi au titre des parts sociales (I.P.S.) ainsi que le financement des Projets d’Economie locale et Sociale (P.E.L.S.). En tant que Comité d’Entreprise de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur, nous sommes donc fondés à apporter notre propre éclairage sur la réalité économique de l’entreprise en nous attachant plus particulièrement au résultat net d’exploitation calculé après dotations aux risques clientèles. Or, pour l’année 2000, ce dernier " pèse " trois fois plus que le résultat net comptable et est l’expression pour l’essentiel de la poursuite de la montée en charge du Produit Net Bancaire (P.N.B.). Corrélativement, il appert que l’un des objectifs, " Réduire les frais de gestion de 2,2 % d’ici l’an 2000 " du précédent Plan d’Orientations Stratégiques (1998, 1999, 2000) fixé par le Directoire de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur non seulement n’a pas été atteint, mais a clairement subi une contre-performance. Les frais de gestion n’ont jamais cessé de croître. Il est à noter que le paramètre de référence dans le secteur bancaire est le sacro-saint coefficient d’exploitation, ratio qui résulte de la division des frais de gestion par le Produit Net Bancaire ; l’objectif étant de le réduire afin d’améliorer la rentabilité de l’établissement de crédit. Depuis trois ans, ce ratio s’améliore. Aujourd’hui, en Côte d’Azur, il s’établit à 74 %. Ceci démontre qu’il convient de s’interroger sur la relativité des coûts par rapport aux produits. Si deux employés rapportent plus de deux fois ce que rapporte un seul employé, alors, à salaire égal, les deux employés coûtent moins qu’un seul. Ce qui signifie que les coûts improductifs ne sont peut-être pas là où l’on croit qu’ils sont ! Et il se pourrait bien que le sous effectif chronique nuise directement et indirectement à la rentabilité de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur. Cette vision réaliste légitime les aspirations des acteurs fondamentaux du succès de l’entreprise, à savoir les salariés de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur. En effet, au-delà de l’affectation des résultats purement capitalistiques, dans la perspective d’amélioration du PNB ainsi que de la qualité du service rendu à notre clientèle, l’assemblée générale des sociétaires devra à notre avis recommander pour 2001 une politique d’investissement social concrétisée par un niveau d’embauches mieux adapté à l’accroissement qualitatif et quantitatif des tâches maintenant confiées aux salariés de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur. D’autre part il convient d’apporter des précisions quant Nous voulons " tordre le cou " à un autre faux semblant du rapport de gestion, à savoir l’augmentation de 6,5 % des frais de personnel. La part relative de cette variation en matière de mesures collectives ne représente en fait que 10 % alors 0,6 % et rappeler que les salaires en niveau des agents Caisse d’Epargne ont été gelé en 1999 et 2000. En effet, la plus grande partie (60 %) de cette accroissement correspond aux conséquences concernant un exercice comptable de l’application d’une politique de départs négociés dans la perspective de réaliser des économies substantielle à moyen et à long terme. En outre, il nous appartient de dire qu’il est inexact de considérer, comme a été tenté de le faire le Directoire dans un premier temps, que la plus value comptable sur immobilisation financière (opération CNP) de 11,85 millions d’euros enregistrée " virtuellement " neutralisait en grande partie la provision (15,9 millions d’euros) pour les coûts réels à venir inhérents aux restructurations informatiques pour 2001 et 2002 dans la perspective d’une réduction des coûts informatiques à moyen terme. La baisse tendancielle du taux global de créances douteuses et contentieuses ne doit pas masquer le fait que la Caisse d’Epargne Côte d’Azur a enregistré ces dix dernières années d’importantes pertes financières (créances irrécouvrables) dont le montant globale avoisine les 400 millions de francs. Ce " trou béant " dans nos fonds propres entraîne évidemment un manque à gagner du PNB en termes de résultats financiers. Il est à noter que cette " casse " sanctionne une politique patronale très hasardeuse, voire aventureuse, développée à la fin des années 80 sur les secteurs de la promotion immobilière et PME/PMI. Evidemment, les premières victimes ont été les salariés privés d’intéressement en 1992, 1993, 1994, 1995, 1996, 1997. L’esprit de coopérative qui doit désormais (loi du 25 juin 1999) présider aux destinées du Groupe des Caisses d’Epargne implique l’application d’une tarification privilégiée au bénéfice de nos sociétaires. Pourquoi nos patrons ne l’envisagent-ils pas ? L’idée même de la coopérative se marie parfaitement à l’histoire deux fois séculaire des Caisses d’Epargne et aux valeurs fondamentales qui les sous-tendent. Le concept d’AMI FINANCIER ne doit pas supporter les pratiques commerciales déviantes comme la vente forcée. Il suppose LE BON CONSEIL AU BON MOMENT. C’est le sens du combat collectif mené par une majorité de salariés pendant trois semaines de grève au mois de janvier 2001 car, dans un langage marketing, notre véritable avantage concurrentiel c’est la confiance des clients en général et des sociétaires en particulier dans l’institution Caisse d’Epargne. C’est l’héritage inestimable que nos anciens nous ont transmis et qu’ils nous appartient d’entretenir.* L’article 1er de la loi portant réforme des Caisses d’Epargne leur assigne des missions d’intérêt général, notamment la lutte contre l’exclusion et, en particulier, l’exclusion bancaire. Alors, pourquoi ne pas consacrer tout ou partie de l’enveloppe globale PELS à financer le maintien ou l’implantation de nouvelles d’agences Caisse d’Epargne dans des zones rurales désertifiées ou défavorisées au lieu de les fermer purement et simplement comme à Signes, à Carnoules, à la Seyne-Berthe, à St Augustin ou dans la zone de l’Ariane à Nice ? D’ailleurs, conserver le monopole du livret A et son corollaire, le financement du logement social par l’entremise de la CDC, est le pendant à ce devoir citoyen confié par le législateur aux Caisses d’Epargne. A l’occasion de cette première assemblée générale des sociétaires de la Caisse d’Epargne Côte d’Azur, il convenait de mettre un bémol à l’auto satisfecit patronal. Le Comité d’Entreprise, dont la vocation est le contrôle de la gestion de l’entreprise par l’employeur, était manifestement bien mieux placé en termes d’indépendance et de compétence que le Conseil d’Orientation et de Surveillance et, a fortiori, du Comité d’Audit dans sa version actuelle, pour se livrer à cet exercice certes critique, mais à coup sûr sain et salutaire dès lors que nous nous inscrivons dans le temps... Nice, le 5 avril 2001
COMITE D’ENTREPRISE DES 21 et 22 mars 2001 Préliminaire Le Secrétaire du Comité informe les membres que le Tribunal d’Instance de Nice n’a pas donné raison au SU sur sa procédure en annulation des élections du CE.Information et consultation sur le projet de réorganisation du Pôle Ressources Humaines Il est prévu de créer au sein du pôle ressources humaines une troisième Direction chargé de la Communication Interne et de la Formation (la communication interne était précédemment rattachée au Secrétariat Général). Les 4 objectifs principaux de cette réorganisation sont :
Une structure organisée autour :
Les organisations syndicales se sont étonnées que cette modification intervienne alors même que la démarche métier est en cours d’élaboration et que par ailleurs au même motif la Direction n’a pas souhaitée rectifier les emplois commerciaux (démarche dés plus urgentes). Pour autant estimant que ce projet découlait d’une logique issue du constat par la direction d’une approche imparfaite dans la communication interne et l’analyse des remontées du personnel la CGC, FO et le SU se prononcent pour ce projet. Information et consultation sur l’organigramme et les définitions d’emploi nouvelles et modifiées du Pôle Ressources Humaines Nous avons fait un certain nombre de remarques tel que le poste de responsable de la communication interne en F (la direction estimant nos remarques en terme de charge de travail et de dimension d’activité comme pertinentes propose une deuxième fiche en G), le re-dimensionnement des effectifs associés à la communication (la direction n’exclu pas un élargissement), le rattachement du poste de Chargé médias et supports directement à la Direction de la communication et non pas au responsable de la communication, l’oubli des formateurs classés en F, le poste de secrétaire de direction en C. S’agissant d’un vote global organigramme et classification, nous avons accepté la double classification du Directeur de la Communication Interne et de la Formation ainsi que celle du Directeur des Emplois et des Carrières dans la mesure ou la Direction la présente comme étant facteur de promotion interne. Nous avons approuvé les postes les plus classés en cas de double classification F/G et E/F en estimant qu’une période probatoire pouvait être dans ces cas utilisée. Nous avons souhaité le rattachement du Chargé médias et supports au responsable de la communication et l’analyse de la classification de la secrétaire dans une logique globale de cette fonction. Consultation sur la définition d’emploi de Directeur d’agence classé en " E " Elle est approuvée à l’unanimité, nous avons pour autant demandé à la direction de se pencher sur un emploi de conseiller en E dans le cadre d’une évolution dans l’emploi. Information et consultation sur le rattachement de la Direction des Affaires Générales au Pôle Informatique et Production Bancaire S’agissant d’un rééquilibrage des pôles et s’inscrivant dans une logique organisationnelle (métier de support) un vote favorable unanime est donnée. Nous avons demandé la re-dénomination du pôle en y ajoutant la mention Affaires générales. Information et consultation sur la création et la définition d ‘emploi du poste " Assistant de Réseau Téléphonique " au sein de la Direction des Affaires Générales Approuvé à l’unanimité Information et consultation sur la création et la définition d ‘emploi du poste " Responsable de la cellule Gestion des Factures " au sein de la Direction des Affaires Générales La définition d’emploi proposée ne semblant pas correspondre à l’activité réelle de cette emploi le CE demande le report de ce point. Affectation des jours de Ponts et Fêtes locales Les ponts affectés sont les suivants : Exception pour les salariés de la Banque par Téléphone (à voir) Consultation sur la création du GIE ARPEGE 2000 (C17) Les Caisses adhérentes de la Communauté ARPEGE ont signé, avec leurs filiales informatiques, une convention de Groupement de fait. Il est présenté la constitution d’un GIE qui, jusqu’à la mise en place de la Société d’Edition Arpège, aura pour objet :
Les éléments communiqués au Comité tant en terme de coût, que de données informatiques cibles, que les impacts sociaux induits, ne permettent pas de donner un avis. Le Comité demande une nouvelle réunion lui permettant d’avoir un éclairage nouveau en ayant des réponses aux questions posées. Consultation sur l’emploi des handicapés Le Comité prenant bonne note des efforts de la Caisse en matière d’embauche des handicapés et de la volonté de la Direction de poursuivre dans cette voix, se prononce favorablement à l’unanimité. Consultation sur la Taxe d’apprentissage La taxe s’élève à 794.500 F pour les A.M. et à 758.448 F pour le Var. La répartition entre les différents établissements scolaires est issue du Réseau et des Grands Comptes. La CGC et le SU votent pour cette répartition. Information sur la suspension d’activité pour raisons de sécurité de l’agence Nice Saint-Augustin Cette suspension est liée à l’arrêté préfectoral d’insécurité des transporteurs de fonds, mais également à celle des salariés. Il est reproché à la direction de ne pas avoir su prendre le problème à temps et de n’avoir pas mis tout en œuvre pour rechercher une possibilité de transfert, afin de lutter contre l’exclusion dans un quartier de Nice difficile. La CGC a également interpellé la Direction sur l’affectation des salariés en particulier celle du Chef d’Agence. Présentation du projet d’ouverture d’une agence en centre commercial (Carrefour Nice Lingostière) Le Comité a rappelé les expériences infructueuses en la matière, et en particulier dans un contexte de concurrence direct avec Carrefour. Le Comité s’est penché sur le problème du Chiffre d’Affaires par agent prévu (4,5 MF / an), la sécurité, les structures, les effectifs et les horaires (du lundi au samedi de 9 h 30 à 21 h). Sur ces 2 derniers points une réunion avec les OS doit se tenir prochainement ainsi qu’une réunion du CHSCT pour la sécurité. Les locaux ayant été acquis aux enchères contre la BPAM une ouverture probable sera faite avant la fin de l’été. Compte rendu de gestion du Comité pour la période 1999 - 2000 Le secrétaire commente la plaquette de compte rendu de gestion qui a été distribuée à l’ensemble des salariés. Création d’une commission relative à l’amélioration des conditions de travail des salariés Sont élus : Président Jean Noël RAYNAUD Membres D. OPERTO – R. ROMEO – B. AGUIRE – J.C. SORBIER – J. MAILLAN
COMITE D’ENTREPRISE DU 15-02-2001 Cette réunion s’est déroulée conformément à nos prévisions et nos positions arrêtées à la dernière réunion de section. 1 – Constitution du Bureau du Comité
2 – Constitution des Commissions Obligatoires
3 – Constitution des Autres Commissions
3 – Désignation du Représentant du CE au COS Jean Philippe DUHAU (CGC) La CGC a demandé que soit portée à l’ordre du jour du prochain Comité (le 9 mars) la création d’une nouvelle commission " Condition de Travail " dans les normes d’attributions au CE définies par la loi, indépendamment du CHSCT. RÉSULTATS AUX ÉLECTIONS DU COMITE D'ENTREPRISE DU 6 FÉVRIER 2001Le nouveau comité est réparti de la façon suivante : FO : 5 élus ( 3 dans le
2ème collège, 2 dans le 1er collège)
La CGC représente environ 10,5% des voix exprimés dans les collèges où elle peut être représentée Vos représentants au Comité sont : Jean-Philippe DUHAU / Jean-Claude FABRIS Vos représentant en délégué du Personnel sont : Jean-Paul HENRY / Patrick OPERTO
Préliminaire Le CE demande à la Direction qu'une solution rapide soit apportée au problème de la taille des écrans en agence. Plan de Formation 2001 Il représente un volume de formation de 7777 j/h réparti en 2245 j/h de formation qualifiante (institutionnelle) et 5532 j/h de formation adaptation. Cette dernière est fortement impactée par les projets IARD (1034 j/h), GERC (450 j/h), EURO (1000 j/h), OPCVM (400 J/H). Suite à la présentation des enjeux ( renforcement des compétences managériales, détermination d'un niveau de formation utile, développement de schémas pédagogiques modernes et évolutifs) .. le CE met en garde la direction sur les dérives des formations à distance et les auto-formations qui ne doivent pas se substituer aux formations classiques, ni s'inscrire dans l'auto-insuffisance et le laisser faire. Le CE conteste fortement la possibilité et l'efficacité de s'auto-former à son poste de travail. Un avis favorable est donné avec réserves et demande de présentation de l'avancement du plan en juin 2001 par la CGC et FO.
Finalité de la CE CAZ : être une banque coopérative régionale, leader sur les marchés de proximité au service de la satisfaction de tous ses clients et du développement économique local et régional. Valeurs institutionnelles, respect de l'autre, esprit d'équipe et de solidarité, responsabilité et initiative, exemplarité de l'Encadrement, réussite et performance sont les valeurs permanentes de l'entreprise. Bilan du POS 1997-2000 : nos réussites sont basées sur le maintien d'une bonne dynamique commerciale, la maîtrise des risques, une productivité en progression, de nombreux projets menés à leur terme, des progrès dans la maîtrise managériale et dans le dialogue social. Nos échecs résultent d'une part de marché collecte en recul, d'une maîtrise des charges inférieure aux objectifs, de la non mise en place de certains projets, d'une mobilité fonctionnelle siège-agence insuffisante. Perspectives 2001-2003 : Le contexte économique et financier : une croissance d'environ 3 %, une inflation d'environ 1,7 %, une consommation en hausse et un taux de chômage en baisse. Le marché des crédits devrait poursuivre sa croissance, les arbitrages des placements se faire en faveur des OPCVM pour 1/3 et les assurances vie 50 %. L'environnement concurrentiel : favorisé par la monnaie unique, apparition de nouveaux intervenants utilisant les nouvelles technologies, avec un développement des services para-bancaires. L'impact décisif des nouvelles technologies. Le Big Bang : il s'agit de la levée du ni-ni (rémunération des dépôts à vue et facturation, mais des doutes subsistent encore d'où une position attentive et attentiste du groupe), de la dématérialisation du livret A (elle est engagée mais se fera sur 3 ans en étant attentif à l'impact sur les agences et sur la clientèle), de la mise en place de l'Euro fiduciaire (qui doit constituer une opportunité pour tirer profit des contacts générés sur cette période). Le Cadrage Stratégique National : une part de marché de 13 % minimum sur les activités bancaires de proximité, un coefficient d'exploitation de 65 %, un résultat net x 2, une convergence informatique. Les 5 enjeux stratégiques de CAZ : - intégrer l'évolution de notre métier de distributeur dans notre organisation et nos pratiques pour vendre + et mieux, - adapter les compétences et mobiliser les potentiels d'initiative des 1600 collaborateurs, - maîtriser nos charges pour réduire nos prix de revient, - maîtriser nos risques pour sécuriser nos développements, - développer et animer le sociétariat pour enraciner et faire vivre les valeurs de la Caisse. Présentation du protocole de constitution de la Communauté ARPEGE Elle est composé de 17 Caisses et des communautés existantes SERSIM (PAC et LR), ARPEGE C8 (CAZ - IDFO - IDFN - Franche Comté - PL - DOM TOM - TOM), CTIRCEAL (Alpes - RAL - Auvergne - Bourgogne - LDA), VIVALIS (Alsace et LN) s'appuyant sur la base "ARPEGE SERSIM". Elle a pour responsabilité d'arbitrer et décider les orientations stratégiques, créer la société d'édition, d'organiser la fonction production, d'assurer le pilotage global ainsi que l'élaboration et la mise en œuvre du plan triennal glissant, d'harmoniser les politiques d'investissement, de gérer le volet économique, de coordonner les politiques de gestion des RH et de prendre en charge la dimension sociale dans le respect de l'accord cadre national. A nos questions Mr. MERELLE répond :
Affectation du 1 % Logement La prestation est identique à l'année 2000 :GIPLAM 258 KF, AIAC 152 KF, CILCA 403 KF, CILVAR 707 KF soit un total de 1.521 KF. Accord à l'unanimité des élus au CE. Présentation du Budget Prévisionnel du CE Budget de fonctionnement (hors PV) de 915 KF Budget Œuvres Sociales de 6.235 KF se répartissant comme suit :
Ce budget est approuvé par la CGC, la CFDT et FO
1 -Présentation au Comité d’Entreprise de la mise en place de l’EURO à la CE CAZ
Relance du projet national " Monnaie Unique " au sein de la CNCE Ce projet comprend trois axes principaux qui seront déclinés dans l ’ensemble des Caisses du Groupe
bascule de la monnaie fiduciaire Organiser les bascules informatiques finales et l'arrêt de la distribution des produits en franc principalement entre juin et octobre 2001
Une organisation à mettre en place pour
2 - Avis du CE sur le projet de bascule de la sphère sociale la CNCE a retenu de basculer la sphère sociale de chaque entreprise du réseau au
Cette date présente notamment comme avantages :
LES CONTRATS DE TRAVAIL
les contrats en cours ne nécessitent aucun avenant signe par le salarie en application du principe de continuité juridique des contrats LES ACCORDS COLLECTIFS
LES MONTANTS D ’INTERESSEMENT ET DE PARTICIPATION SERONT CALCULES EN EUROS LES SALAIRES
pendant la période transitoire, les valeurs portées au crédit du compte du salarie seront fonction de la monnaie de gestion de son compte Certaines prestations seront calculées et liquidées en FRANCS pendant la période transitoire (I.J.S.S., allocations longue maladie versées par la C.G.P., prestations versées par la MNCE...) : les valeurs seront converties en euros pour celles qui nécessitent un passage en paie les écarts de conversion seront traites en comptabilité RÈGLEMENT DES FRAIS PROFESSIONNELS
BILAN SOCIAL ET REPORTING les établissements du groupe fourniront les reportings en euros des 2001. la cnce se chargera de traduire les exercices antérieurs ONT VOTE POUR CGC - FO - SU - CGT
3 - Avis du CE sur le projet de scannérisation des chèques Les Objectifs Rendre le temps commercial aux commerciaux. Ramener le temps de traitement moyen en Agences à 30 mn au lieu de 2 h 30 mn.
Sécuriser le transport des chèques Agences. Répondre à la décision au 1er Janvier 2002 de suppression des échanges physiques des chèques. La solution Préconisée
: L ’arrêté de fin de journée est supprimé. L ’historique du chèque déposé est accessible sur le poste Scanner durant 4 mois au minimum. Gain d ’1 jour de valeur (1,5 MF). Disposition du 01/01/2001. Mise en œuvre du projet Tests en juillet et août sur 17 agences 100 agences déployées fin septembre si mise en œuvre du projet Beaucoup de question ont été posé sur les conséquences sociales liées au projet, la sécurisation des fichiers, le pourcentage de rejet…. ONT VOTE POUR CGC - SU tout en constatant la saisine tardive du CE sur ce dossier, la non présentation des conséquences sociales liées aux gains de temps décris, à l'intérêt de la disparition de travaux routiniers à faible valeurs ajoutés, le déploiement uniquement au 2/3 des agences même si elles représentent 80 % des chèques, à la limitation aux chèques déposés dans les urnes et non au guichet.
3 - Information au CE : Modification des horaires de travail de l'agence de CARRAS qui passe d'une ouverture du lundi à celle du samedi.
1. Approbation du PV du 20 Mai 2000. Le PV est approuvé à la majorité. 2. Consultation sur le Bilan de Formation 1999. Seul le SNE CGC, après avoir noté une amélioration par rapport aux exercices précédents et demandé que cet effort soit poursuivi, a émis un avis favorable au bilan présenté. Ce bilan reçoit donc un avis défavorable de la part du C.E. 3. Informations sur les CIF et Bilan de compétences. La discussion a été principalement axée sur les tests internes " Echo " et " Sosie " que fait passer la DRH aux candidats à différentes fonctions dans l’entreprise. Le SNE CGC ne partage pas l’avis général du C.E., selon lequel ces tests seraient inadaptés. Il considère, à contrario qu’ils permettent (" Echo " notamment), avec l’entretien qui suit, une bonne visibilité sur les aptitudes professionnelles des candidats et facilitent ainsi leur orientation. 4. Consultation sur le déploiement d’INTRANET. La personnalisation des accès (user et mot de passe) en fonction des profils utilisateurs, fera l’objet de négociations avec les O.S. Le déploiement comprendra différentes phases, dont le passage par une agence pilote (Août 2000) et un groupe pilote ( Septembre ou Octobre 2000), après livraison d’un développement demandé au CTR Est. Le CE émet un avis favorable sous réserve qu’il soit tenu compte des recommandations particulières de la CNIL en la matière, et que le règlement intérieur soit modifié en conséquence. 5. Définitions d’emplois en G de " Responsable du département Suivi du Risque Etude et homologation " et " Responsable précontentieux Grands Comptes ". Avis favorable du C.E. 6. Information sur le " Démarche métiers ". Le SNE CGC considère que cette démarche est nécessaire pour adapter l’entreprise à l’évolution des métiers et des carrières. Il sera très attentif à l’utilisation qui en sera faite, et aux conséquences sur l’organisation, le contenu et les classifications des emplois. 7. Contrat de travail de la salariée du C.E. Le CE estime que les conditions ne sont pas remplies pour que cette salariée perçoive une prime d’intéressement au même titre que les salariés CECAZ. Il sera procédé à une consultation juridique sur les termes du contrat de travail, le versement éventuel d’une prime exceptionnelle est envisagé.
1. Le Bilan SocialL’évolution des effectifs est positive de + 22 salariés dans le Réseau entre 98 et 99 et de + 11salariés dans les services centraux. a pyramide des ages est assez particulière : de 41 à 60 ans à dominante masculine de 20 à 40 ans à dominante féminine Dans les demandes d’emplois et réponses on observe plus de candidatures de femmes que d’hommes. Lors des entretiens de sélection il est observé un comportement plus dynamique et plus réactif du côté des femmes. Promotions 80 % du nombre total de promotions concerne les catégories C et D. 49 % concernent les femmes. Absentéisme : maladie et longue maladie sont en légère diminution Formation : diminution du % de la masse salariale consacré à la formation : en baisse 7,10 % en 98 et 5,75% en 99 ! Les filières de métiers ainsi que la gestion des carrières apparaissent encore à nos yeux comme insuffisamment développées. Le vote du Bilan social POUR : CGC FO CFDT SU CONTRE CGT 2. Rapport sur l’égalité Hommes FemmesLa féminisation de notre Entreprise se développe : 43 % en 99 La population féminine est globalement plus jeune, plus diplômée Les femmes représentent 64% es embauches en 99 (CDD CDI auxiliaires d’été) 3. Bilan annuel du travail à temps partielProgression de l’effectif CDI à temps partiel. Des cas paraissent ne pas pouvoir être résolus : abandon du demandeur /aux contraintes en agences, ou au risque de changement d’ES. 4. Infos heures supplémentaires. en 99 - 9415 HS réalisées par 601 salariés de 36 à 39 76% de 39 à 47 21% >47 3% 5. Activité commerciale 1er trim. 2000Performances réalisées : vente des parts sociales enveloppe FCP emprunt Nombre de ventes (assurance vie) et montant moyen Malgré cela les résultats sont en deçà de ce que l’on attendait : - 147MF En crédit : immobiliers très bons résultats Perso : idem 1er trim. 99 CA par agent 252 KF 25ème rang. 6. Consultation sur le projet d’accord relatif à l’aménagement du temps de travail de la Banque par téléphone :POUR : CGC CFDT SU CONTRE : FO CGT
Le premier point de la réunion de ce jour concernait la création du poste de secrétaire de la Directrice du développement des compétences ( classification. " C "). La classification paraît un peu basse à l'ensemble des O.S, cependant la création de ce poste a été approuvée à l'unanimité. Poste de Webdesigner et de Webmaster. Ces nouvelles vitrines de la Caisse d'Épargne Côte d'Azur que sont Intranet et Internet demandent des mises à jours immédiates, des pages conviviales et une certaine veille technologique. Pour cela le poste de Webdesigner, (classé en " E ") qui se rapproche du rôle de l'infographiste et celui de Webmaster (classé en " E/F "), gestionnaire des sites, sont crées à la Direction du Marketing. La direction n'exclut pas une recherche en interne, étant entendu que les personnes doivent avoir deux ans d'expérience. Le positionnement hiérarchique à la direction du marketing se justifie par un relationnel bien plus orienté vers les Directions et leurs soucis ou besoins de communication que par une maintenance technique qui sera assurée par le C.T.I.R. Les principes de bases sont rappelés par la Direction :
ET SURTOUT ACTUALISER EN PERMANENCE Les Directions communiqueront avec le Webmaster par l'intermédiaire d'e-mail. Charge au Webmaster et au Webdesigner de mettre en forme et de remonter sur le serveur. Pour la C.G.C.,
¸ Le poste de Webmaster, pour des raisons techniques de sécurité, DOIT être localisé au C.T.I.R. en effet, le serveur est dans un site protégé et offre une sécurité maximale à l'intrusion de "hackers" aux intentions ludiques ou malhonnêtes, mais toujours malveillantes. Si la Direction prend le risque de localiser ailleurs le Webmaster, il peut être à ce moment n'importe où et pas forcément proche de son supérieur hiérarchique direct et, pourquoi pas en télétravail. En effet, le Web de ses fonctions propres, de sa réactivité, demande d'autres façons de procéder, une réactivité élevée, un état d'esprit nouveau.La Direction accepte nos propositions 1 et 2 et ne se prononce pas sur la troisième. Le Webmaster sera donc classé en " F " et le poste de Webdesigner ouvert à toutes les classifications. Nous ne comprenons pas l'intervention du SU qui demande si la direction ne succombe pas à un phénomène de mode et s'il ne vaudrait pas mieux faire appel à une société de service!!! Nos collègues du SU précisent toutefois qu'ils ne s'opposent pas aux créations d'emplois. on les en remercie!!!! Projet I.A.R.D L'I.A.R.D est un axe stratégique du groupe de la Caisse d'Épargne Côte d'Azur. Il permet de fidéliser la clientèle, empêche en partie les assureurs de venir sur notre cœur de métier et génère un fort P.N.B.. La " Bancassurance " représentera 25% de part de marché en 2005, et il faut être présent maintenant sans cela nous aurons beaucoup plus de mal plus tard et cela nous reviendra bien plus cher. Pour cela, en partenariat avec les Mutuelles du Mans à travers une Société anonyme détenue à 65% par le groupe des Caisses d'Épargne, nous allons commercialiser nos propres produits. C'est à dire que les Mutuelles du Mans vont nous aider à concevoir des produits originaux et adaptées à notre clientèle. Ces produits seront vendus à nos guichets et les sinistres gérés par un plateau téléphonique installé à Bordeaux. Il faut noter que ces produits et ces métiers ne viennent pas en concurrence avec nos métiers actuels, mais sont bien complémentaires Un plan de formation important sera décliné à la Caisse d'Épargne Côte d'Azur. L'ensemble du personnel des agences et celui du back-office sera formé. Le back-office quant à lui soutiendra la force de vente et se chargera de l'administratif particulier du marché de l'assurance. L'organigramme est accepté. Les fiches proposées sont rejetées, car sous classées à notre avis.Révision du processus des crédits. Succinctement, la révision du processus des crédits rattache les tâches de production à la D.P.B, la Division analyse et le suivi du risque et la Division contentieux à la Direction des engagements, le pré-contentieux " économie locale " à la direction des Grands Comptes, ainsi que la suppression des conseillers en engagement et la mise en place d'un comité de liaison entre la division du suivi des risques et la D.P.B. La suppression des postes de conseillers en engagement entraîne une inquiétude légitime. Toutefois, l'évolution de ces postes vers des tâches plus adaptées aux nécessités actuelles paraît indispensable. La question des doubles classifications revient une fois de plus au centre du débat. Pour la C.G.C., la direction doit définir précisément les emplois de son organigramme. Elle doit donc savoir quels en seront les contenus, et ipso facto, quelles seront précisément les classifications. A notre avis une double classification dénote un manque de maîtrise, un " à peu près ", une approximation injustifiable. De ce fait, nous avons voté contre les fiches dont la classification étaient la plus basse. Ceci dit, l'organisation proposée nous semble convenable sauf pour le département " assistance filtre " que nous aurions aimé voir scindé en 2, la partie contrôle des dossiers rattachée à la D.P.B, la partie technique rattachée à la Direction des engagements. Nous avons donc donné un avis favorable. Cependant, la C.G.C estime que l'organisation d'une entreprise c'est important, mais elle place les hommes au-dessus des " concepts ", des " process " et autres " business-plan ". Elle veillera à ce que les personnes soient reclassées sur des postes équivalents. Nous serons intransigeants sur ce point d'autant plus qu'une intervention inopportune du responsable de l'Organisation lors d'une discussion sur la classification du poste de responsable du département " suivi du risque, étude et homologation " nous conforte en ce sens. Après mise au point, la Direction n'est pas insensible à nos arguments et promet de réfléchir sur la classification de ce poste et réaffirme que sa volonté est de reclasser les personnes au même niveau. Avis du Comité le projet: Pour la C.G.C., L'organisation proposée nous semble convenable., les postes de techniciens en "E" complètent bien la filière métier : Avis favorable Cependant les changements d'organisation ne doivent pas léser le personnel qui s'est attelé aux tâches précédentes et doivent se remettre en question, voire changer radicalement de métier. La Direction précise que c'est aussi son souci. Pour FO, Le projet est cohérent à quelques exceptions près, avis favorable; Pour le SU, si l'on ne prend pas en compte ses avis il votera défavorablement
Les Classifications: Département Assistance / filtre : pour la C.G.C. du fait qu'il puise son contenu dans différents départements et qu'il crée de nouvelles fonctions, ce département doit être classé en "G" et non pas en "F". le votre porte sur la classification "F" C.G.C., FO, et SU s'abstiennent CFDT et CGT votent pour Technicien assistance filtre S'abstient le SU, FO, C.G.C., CFDT et CGT votent pour Technicien crédit aux particuliers S'abstient le SU, FO, C.G.C., CFDT et CGT votent pour
DIRECTION DES ENGAGEMENTS: La direction nous informe qu'elle fera appel en interne pour pourvoir au poste de Responsable de la Division Analyse et Suivi du Risque. Nous ne prenons part qu'au vote concernant la plus haute classification.
Assistant comptable pour la C.G.C. la déclassification de ce poste en "E" ne se justifie pas. S'abstient le SU, C.G.C., FO, votent contre CFDT et CGT votent pour Responsable département Analyse et contrôle des risques ce poste n'est voté que pour sa plus haute classification Responsable département suivi des risques étude et homologation. La déclassification de ce département semble complètement injustifiée à la plupart des O.S. Pour la C.G.C. le contenu de cet emploi impose une classification en "G". Nous ne comprenons pas l'intervention du responsable de l'organisation qui plaide pour une déclassification. Pensanr qu'il n'a pas à se mêler de ce débat qui ne regarde que les ressources humaines et les organisations syndicales, la C.G.C. lui demande un peu plus de réserve et de ne pas prendre part à ce débat. Technicien suivi des risques etudes et homologations Ce poste est accepté à l'unanimité sauf le SU qui s'abstient. Technicien de recouvrement Idem au précédent Conseiller Contrôle Risque Pour : C.G.C., CGT, CFDT S'abstiennent : FO et SU Précontentieux, Grands comptes Les OS votent pour, à l'exception du SU qui s'abstient
La séance est levée à 19h. sera examiné ultérieurement : les comptes du CE
Les élus varois ayant une fois de plus reçu les convocations et les dossiers la veille de la réunion, la délégation CGC a déclaré ne pas pouvoir se prononcer sur certaines consultations. Ceci étant dû à des perturbations dans les services postaux, la responsabilité de la Direction n'est pas engagée. PROJET INTRANET CE CAZ Mars 2000 déploiement des accès Intranet à l'ensemble du réseau commercial, puis il sera étendu à l'ensemble des salariés de la CE CAZ jusqu'en juin 2001. Les services et applicatifs seront disponibles selon le profil de l'utilisateur. Malheureusement la direction n'a pu nous décliner les différents profils. Les différents types de rubrique : information, structure (annuaire et organigramme dynamique), documentation, accès Web (interne ex.CNCE, CNETI, ou externe), application (courrier, réservation de salles…)Mise en place d'une messagerie, limitée à - de 30 utilisateurs et à usage professionnel. Communication interne ou externe (fonction des habilitations). Nous avons souhaité que l'accès via Internet soit ouvert très rapidement à nos clients en complément du minitel (de + en + de foyers s'équipant en PC multimédia). La direction n'a pu répondre à nos questions du dernier Comité, à savoir la rentabilité et le retour sur investissement, ainsi que le dimensionnement du personnel que nous estimons au plus juste. Elle s'est contentée de rappeler que la BpT s'inscrivait dans le schéma de banque à distance, volonté du Directoire, même si globalement aucune décision définitive n'est arrêtée aujourd'hui. Si elle est consciente des coûts de la BpT elle espère une rentabilité globale de la BàD. Elle estime suffisant le personnel prévu aujourd'hui dans l'attente d'un regroupement éventuel avec le plateau télémarketing. Nous avons fait remarquer qu'en fonction des lois nous serions probablement obligés de reprendre le personnel de la société qui travaille pour nous aujourd'hui. Estimant que nous ne pouvions pas, malgré tout faire l'impasse sur ces nouveaux canaux de distribution nous avons émis un avis positif sur le principe du projet, mais bien entendu pas sur sa déclinaison en l'absence de renseignements. Nous avons approuvé l'organigramme de ce service avec un responsable un superviseur et des téléconseillers. Seule la CFDT a voté dans notre sens. Par contre en dehors du poste de téléconseiller en D qui fut approuvé, tous les autres postes on été rejeté, les OS estimant les classifications insuffisantes.
DIRECTION DES ENGAGEMENTS RATTACHEMENT DES DIVISIONS Le projet d'entreprise consistant dans le rattachement de la division gestion des engagements à la production bancaire, et de la division contentieux à la direction des engagements présente à notre avis une cohérence organisationnelle que nous avons été les seul à approuver.Ces opérations d'organisation des directions doivent permettre de faciliter la continuité de la réflexion sur les process crédits. S'agissant d'un couper coller et bien que le hiérarchique soit à Toulon et le fonctionnel à Nice, aucune modification de poste, d'emploi, d'affectation et de fonctionnalité ne sera effectuée.
EMPLOI DES HANDICAPES Cette année encore il manque l'embauche de 6 unités. La politique de l'entreprise en matière d'emploi de personnels handicapés devrait comme promis combler cet effectif et non payer une contribution de 118 KF. Le CE a donc émis un avis défavorable et a demandé à la direction de concrétiser ses promesses d'embauche.
AFFECTATION DE LA TAXE D'APPRENTISSAGE Le choix des attributaires, et les critères qui ont déterminé ces choix n'ont pas été jugés satisfaisants par les élus du personnel qui ont émis un avis défavorable. La CGC n'a pas participé au vote pour réception tardive des documents.
PROJET D'ACCORD SUR LES FRAIS DE MISSION Un débat s'est instauré sur l'opportunité de consulter le CE dans un domaine qui relève des OS. Le CE a émis à l'unanimité un avis défavorable, les délégations ayant des points de vue convergents.La CGC a voté contre, indépendamment de toute considération juridique sur la compétence du CE en la matière. La proposition faite par la Direction est trop éloignée de notre point de vue et ne prend pas en compte les contraintes qu'elle a elle-même provoquées. INFORMATION SUR LES LOCAUX DE LA CAISSE Les données présentées étant insuffisantes pour apprécier l'état du patrimoine et des locaux, le CE a demandé des chiffres plus complets et une nouvelle présentation.AFFECTATION DES JOURS FLOTTANTS
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